Areva

Areva est un groupe industriel français spécialisé dans les métiers de l'énergie :

Définitions :

  • Le groupe AREVA a été créé le 3 septembre 2001. Issu de la fusion des activités de CEA-Industrie, de Framatome et de Cogema, il est actuellement un des premiers acteurs mondiaux dans le secteur nucléaire, des nouvelles technologies et de la connectique. www. arevagroup. com (source : debat-energies.gouv)
  • créé le 3 septembre 2001, ce groupe industriel mondial réunit surtout les activités de Cogema, de Framatome-ANP et de Technicatome. (source : cea)
  • le groupe AREVA est la réunion de cinq sociétés principales : AREVA T&D, Cogema, Framatome-ANP, Technicatome et FCI. (source : industrie.gouv)


Logo de Areva
Repères historiques
Création : 2001
Fiche d'identité
Forme juridique : société anonyme
à conseil de surveillance et directoire
Slogan (s)  : «Experts en énergie»
Siège social : Paris
Direction : Anne Lauvergeon, Présidente du directoire
Actionnaires : Commissariat à l'Énergie Atomique (78,9%), Etat français (5,2%), CDC (3,6%)
Activité (s)  : Fourniture de solutions technologiques pour produire l'énergie nucléaire et acheminer l'électricité.
Produit (s)  : EPR
Filiale (s)  : Areva NP, Areva NC, Areva T&D, Areva TA
Effectif : 65 583 (décembre 2007)
Site corporatif : http ://www. areva. com
Données financières
Chiffre d'affaires : 11,923 milliards d'euros (2007)
Principaux concurrents
Toshiba fusionné avec Westinghouse, General Electric

Areva est un groupe industriel français spécialisé dans les métiers de l'énergie :

Areva est présent industriellement dans 43 pays et dispose d'un réseau commercial présent dans plus de 100 pays.

Le groupe est essentiellement formé de 4 filiales :

Sa présidente est Anne Lauvergeon depuis 1999.

Métiers

En 2007, Areva compte environ 65 500 employés (après cession de FCI, 70 000 avant cette cession) et contrôle un grand nombre de filiales [1] dont les principales sont listées ci-dessous (au 31 décembre 2007[2]).

Sur le plan opérationnel, Areva divise son activité en quatre pôles, dont les limites ne recoupent pas littéralement celles des filiales[3] :

Le pôle Amont

En 2007, le pôle Amont a généré 26 % du chiffre d'affaires consolidé d'Areva, soit 3 140 millions d'euros. [4] Ce pôle est divisé en 4 «Business Units» (BU), chacune dédiée à une activité située en amont de la production électrique d'origine nucléaire :

Le pôle Réacteurs et Services

Le pôle Réacteurs et Services a généré 23 % du chiffre d'affaires d'Areva en 2007, soit 2 717 millions d'euros. [5] Ce pôle regroupe 7 «Business Units» (BU)  :

Le pôle Aval

Le pôle Aval a représenté en 2007 environ 15 % du chiffre d'affaires d'Areva, soit 1 738 millions d'euros. [6] Ses activités concernent le traitement et le recyclage des combustibles usés, après utilisation dans les réacteurs.

Le pôle Transmission et Distribution

Le pôle Transmission & Distribution représente 36 % du chiffre d'affaires consolidé d'Areva en 2007, soit 4 327 millions d'euros. [7]

Ce pôle regroupe des activités de production, d'installation et de maintenance des équipements de transmission et distribution d'électricité, en haute et moyenne tension. Ses activités industrielles sont réparties sur 71 sites dans une quarantaine de pays, ses activités commerciales dans une centaine de pays.

Ce pôle est organisé en quatre «Business Units» (BU)  :

Autres activités et participations

En mai 2005, Areva a cédé la totalité des 28,4 % qu'elle détenait dans Assystem Brime.

En octobre 2005, FCI, la filiale spécialisée dans la connectique, a été cédée au fonds d'investissement Bain Capital.

Areva dans le monde

Sites et implantations

Areva exerce ses activités sur 56 sites industriels principaux :

La répartition des implantations est très variable selon les Business Units. Les activités minières sont réparties au Niger, au Canada et au Kazakhstan. Les BU Chimie et Enrichissement, mais aussi Traitement, Recyclage ou Assainissement sont implantées seulement en France. La BU Combustible en France, mais également en Europe hors France ainsi qu'aux États-Unis.

Areva aux États-Unis

Areva est implanté aux États-Unis à travers 42 sites, à la fois industriels et commerciaux, dans 20 États. Le groupe emploie 5 300 salariés aux États-Unis, où son chiffre d'affaires s'élève à 1,7 milliard de dollars en 2006 (triplé en trois ans). [9]

Areva s'est d'abord implanté aux États-Unis à travers les prestations et services proposés aux acteurs du nucléaire :

Le 8 août 2005, les États-Unis ont adopté l'Energy Policy Act (loi sur l'Energie), qui inclut surtout un certain nombre de mesures pour encourager les électriciens à construire de nouveaux réacteurs. Areva espère profiter de cette tentative de relance du programme nucléaire américain pour promouvoir sa technologie, et surtout son réacteur EPR.

En 2005, Areva et Constellation Energy, l'un des principaux électriciens américains, ont créé la cœntreprise Unistar Nuclear, qui a pour mission de promouvoir et commercialiser la technologie EPR aux États-Unis. En 2006, Unistar a annoncé un accord entre Areva et BWX Technologies, acteur américain de l'industrie nucléaire, pour la fabrication de composants pour l'US EPR. Des électriciens américains, comme Ameren ou Fresno, ont dans ce cas exprimé leur intérêt pour la construction d'EPR. Areva déposé le 11 décembre 2007 un dossier de certification du réacteur EPR, auprès de l'autorité de Sûreté américaine (NRC, National Regulatory Commission), franchissant une nouvelle étape vers la mise en service, envisagée dès 2015, du premier EPR aux États-Unis.

Fin 2007, la technologie EPR était choisie par plusieurs électriciens et 7 projets étaient annoncés, dont :

Dans le domaine du recyclage des combustibles, l'alliance INRA (International Nuclear Recycling Alliance), conduite par Areva et Mitsubishi Heavy Industries, a signé un contrat avec le Department of Energy (DŒ) pour étudier le développement aux États-Unis d'une usine de traitement des combustibles nucléaires usés, et d'un réacteur de génération avancée pour les recycler. Ce contrat s'inscrit dans le cadre du programme Global Nuclear Energy Partnership (GNEP) .

Areva en Chine

Icône de détail Article détaillé : Programme nucléaire de la Chine.

Areva participe avec la Chine depuis les années 1980. A fin 2007, le groupe est présent en Chine à travers :

Le groupe emploie 2 600 personnes en Chine. [10]

Areva a contribué à la construction de 9 des 11 centrales nucléaires en service à ce jour en Chine. Le groupe a surtout construit les îlots nucléaires de Daya Bay (en service depuis 1993-94) et de Ling Ao (en service depuis 2002), et apporté des équipements pour les centrales de Qinshan, Tianwan et Hongyanhe.

Depuis 2004-2005, Areva a signé de nouveaux contrats en Chine, concernant la construction de 4 nouvelles centrales nucléaires (en particulier la réalisation de la phase 2 de Ling Ao II et de la phase 2 de Qinshan II).

En novembre 2007, Areva et China Guangdong Nuclear Power Corporation ont signé le plus grand contrat de l'histoire nucléaire civile, d'une valeur de 8 milliards d'euros [11]. Ce contrat porte sur la construction de deux réacteurs de nouvelle génération EPR à Taishan (province du Guangdong) et sur la totalité des matières et services nécessaires à leur fonctionnement. Après la Finlande et la France, la Chine comptera par conséquent les 3e et 4e EPR en construction dans le monde.

La collaboration d'Areva avec la Chine concerne aussi :

Areva au Niger

Areva exploite l'uranium du Niger, 5e producteur mondial, depuis quarante ans, jouant le rôle de deuxième employeur au Niger, après l'État.

Areva bénéficie d'un tarif avantageux de 27 300 francs CFA (41 €) le kilogramme d'uranium, alors que le prix du marché, se situe à 122 000 francs CFA le kilo (186 €). Ces tarifs privilégiés ont été obtenus grâce au contexte de la décolonisation; en 1961, la France et certains pays d'Afrique de l'Ouest, ont passé des accords selon lesquels l'ancienne puissance coloniale garantissait la sécurité et la stabilité, en échange de la primauté sur leurs ressources minières[12]. Areva est soupçonné de connivence avec la nouvelle rebellion Touareg du MNJ (Mouvement des Nigériens pour la justice) qui opère dans les regions septentrionales du Niger. Ainsi, le conseiller à la securité Gilles Denamur et le directeur general d'Areva au Niger Dominique Pin ont été expulsés en juin et août 2007 après les attaques du MNJ sur Tezerzet et Imouraren, attaques au cours desquelles des vehicules ont été emportés et un poste avancé de l'armée nigerienne détruit. D'après le président nigérien Mamadou Tandja, ce soutien présumé du groupe nucléaire français au MNJ vise à empêcher des compagnies étrangères concurrentes de s'installer dans la région où le MNJ est présent.

Le Niger et Areva avaient cependant renouvelé jusqu'à fin 2007 les accords qui les lient. Le prix de l'uranium va augmenter et le Niger va pouvoir vendre directement pour son propre compte 300 tonnes sur le marché. Pour ce qui concerne la prospection de l'uranium, Areva sera désormais traité tout comme les nouveaux partenaires du Niger, a indiqué Mme Mindaoudou sans préciser de qui il s'agissait. Le samedi 8 septembre 2007, d'importantes manifestations ont eu lieu au Niger pour réclammer "le départ d'Areva" du pays. [13]

Malgré ces rebondissements et l'insécurité croissante du Nord-Niger, Areva a annoncé à la mi-janvier 2008 des investissements majeurs (plus d'un milliard d'euros) sur le site d'exploitation d'Imouraren, et la conclusion d'un accord mettant fin à des mois de tensions avec les autorités nigériennes. Il est ainsi prévu de créer 1400 emplois directs sur ce site qui devrait devenir d'ici 2011 la plus grande mine Afrique de l'Ouest. Les avantages seraient cependant aussi évidents pour l'industrie nucléaire française qui pourra une fois la mine en pleine activité, avec un rendement de 5 000 tonnes d'uranium par an[14], assurer 100% de ses besoins en uranium - voire plus ce qui lui permettrait de devenir à son tour exportateur...

Le 23 janvier 2008, en marge du forum économique mondial, des ONG du monde entier ont attribué à Areva, parmi 40 sociétés en lice (surtout le groupe pharmaceutique Bayer CropScience et le groupe alimentaire américain Dole), un double lauréat d'"Oscar de la honte" de l'entreprise la plus irresponsable de l'année [15]. Le géant du nucléaire français rafle la mise en cumulant le Public eye award et le prix du public (7776 votes d'internautes contre uniquement 1623 à Bayer CropScience) pour avoir "extrait de l'uranium dans des conditions complètement scandaleuses" au Niger. Un communiqué de la CRIIRAD du 23 janvier 2008[16] confirme par ailleurs que : "les études conduites par son laboratoire, autant en France qu'au Niger, lui ont permis d'établir l'importance des problèmes associés aux activités minières d'AREVA et ses filiales : pollution de l'environnement, et surtout des cours d'eau, dispersion des stériles radioactifs dans le domaine public, absence de confinement des résidus radioactifs, graves anomalies dans les plans de surveillance, violation des limites de dose mondiales, carences graves dans le contrôle des pouvoirs publics, etc. L'attribution des Public Eye Awards 2008 à AREVA montrent que ni les ONG ni les citoyens ne sont dupes de l'image de marque que s'est fabriqué le groupe à grand renfort de budgets publicitaires. ".

Areva réfute les arguments avancés par les organisateurs du Public Eye Award sur le site niger. areva. com.

Histoire

Création d'Areva

Areva a été créé le 3 septembre 2001, par la fusion de CEA Industrie, Framatome et Cogema.

Sa raison sociale est AREVA S. A. Le nom Areva n'est pas un sigle, il a été inspiré par l'abbaye d'Arevalo, en Espagne[17]. Néanmoins, le groupe écrit son nom en majuscules, AREVA.

La branche transmission et distribution d'électricité (Areva T&D) a été achetée à Alstom le 9 janvier 2004.

La privatisation d'Areva a été annoncée par le gouvernement français depuis 2003, mais a été reportée plusieurs fois, surtout au profit des privatisations de GDF et d'EDF. Fin octobre 2005, le premier ministre Dominique de Villepin a annoncé qu'il suspendait le processus. L'élection de Nicolas Sarkozy en mai 2007 a ravivé les discussions autour d'une possible ouverture du capital d'Areva. Le 31 août 2007, Anne Lauvergeon insistait sur la nécessaire évolution du capital pour financer le développement du groupe.

Développement de l'EPR

Icône de détail Article détaillé : Réacteur pressurisé européen.

Au cours des années 1990, Areva a développé un nouveau réacteur nucléaire : l'EPR. La commercialisation a débuté au cours des années 2000.

L'EPR est un réacteur de 3e génération d'une puissance de 1 600 MW. Le premier EPR est en cours de construction en Finlande, sur l'île d'Olkiluoto. La mise en service, maintes fois retardée, est aujourd'hui prévue en 2011.

Marketing

En 2006, une campagne à l'échelle mondiale, «Experts en énergie», gérée par Euro RSCG C&O, et réalisée par le collectif français H5, s'est donné comme but de «renforcer la visibilité de la marque, de développer ses compétences et de montrer la cohérence de ses activités dans le domaine de l'énergie.» Cette campagne, illustrée par la célèbre chanson "Funky town", a été critiquée par les antinucléaires qui ont dénoncé "la contamination funky". [18]

Areva sponsorise aussi des bateaux français à la Coupe de l'America : Défi Areva en 2003, Areva Challenge en 2007. Ce parrainage a suscité de vives protestations en Australie et en Nouvelle-Zélande, pays dont les opinions publiques sont opposées au nucléaire, mais également en France où les antinucléaires ont dénoncé une provocation, estimant que le vent était lié aux énergies renouvelables et non au nucléaire. [19]

Dans une interview au magazine économique "Challenges", Anne Lauvergeon directrice du groupe déclarait le 10 juillet 2008 : "L'uranium est un des éléments moteurs de notre succès. Notre modèle, c'est... Nespresso : nous vendons les cafetières, et le café qui va avec. Et le café, c'est très rentable. Ainsi en Chine, nous avons vendu deux îlots nucléaires, plus 35% de la production d'Uramin, dont nous sommes propriétaires. Cela illustre notre modèle intégré".


Direction de l'entreprise[20]

Areva est une société anonyme de droit français à directoire et conseil de surveillance.

Conseil de surveillance

Membres appelés par les actionnaires :

  • Frédéric Lemoine - président
  • Alain Bugat - vice-président
  • CEA - Representé par Olivier Pagezy
  • Patrick Buffet
  • Thierry Desmarest
  • Oscar Fanjul
  • Philippe Pradel
  • Guylaine Saucier

Membres représentant l'État, appelés par le gouvernement :

Membres représentant les salariés :

Comités du conseil

Le Conseil de Surveillance peut décider de la création de Comités dont il fixe la composition et les attributions, et qui exercent leur activité sous sa responsabilité.

En 2007, on dénombrait ainsi 4 Comités :

Directoire

Les membres du directoire sont appelés par le conseil de surveillance pour une durée de 5 ans[21].

Analyse stratégique

La présidente Anne Lauvergeon estime que dans un monde de l'énergie en pleine recomposition, son groupe dispose de nombreux atouts (résumé de ses propos)  :

Les ambitions d'Anne Lauvergeon sont cependant contre-carrées par la non-privatisation du groupe décidée par le gouvernement. Par ailleurs, la manière dont elle a conduit sa réélection à la tête d'Areva a fâché Thierry Breton, le ministre de l'industrie de l'époque.

Le mariage avec Alstom est régulièrement envisagé, de même qu'un rapprochement avec Bouygues. De plus, Areva ne dispose pas de suffisamment de trésorerie pour opérer des rachats massifs alors qu'il doit faire face à des grands chantiers : la construction d'un réacteur nucléaire en Finlande, d'une usine d'enrichissement en France et le futur EPR de Flamanville.

Données financières[23]

Données financières au 31 décembre
(en millions d'euros)
Années 2002 2003 2004 2005 2006 2007
Chiffres d'affaires 8 265 8 255 11 109 10 125 ¹ 10 863 11 923
Résultats d'exploitation 180 342 640 551 407 751
Résultats nets part du groupe 240 389 451 1 049 ² 649 743
Capitaux propres 4 020 4 113 4 928 6 362 6 722 6 994
Dettes financières 2 217 800 1 884 2 016 2 119 4 915
Carnet de commandes n. d. n. d. 19 820 20 569 25 627 39 834
(1) sans FCI, le pôle connectique vendu, soit +3,7% en données semblables
(2) 451 M€ hors FCI (pôle connectique)

Impact financier du chantier Olkiluoto 3

Suite au retard du chantier de l'EPR Finlandais, Areva doit provisionner pour verser des pénalités à TVO. Une provision de 60 millions d'euros a été passée en 2005, puis une provision évaluée à 200 millions d'euros au premier semestre 2006[24]. A fin 2006, le montant de ces provisions est estimé à 700 millions d'euros[25]. En 2007, de nouvelles provisions devraient être passées pour un montant évalué entre 500 et 700 millions d'euros, ce qui porterait le surcoût à 1,5 milliard d'euros[26].

Données boursières[27]

4 % du capital Areva sont cotés à Euronext Paris sous la forme de certificats d'investissement (CI), actions sans droit de vote. Cela représente 1 429 108 certificats d'investissements cotés.

Données boursières au 31 décembre
Années 2004 2005 2006 2007
Cours de l'action au 31 décembre (en euros) 335 405.5 563 785
Capitalisations boursières au 31 décembre (en millions d'euros) 11 873 14 372 19 954 27 823
Nombre de transactions quotidiennes (en nombre de titres) 7 697 7 127 5 255 7 067

Notes

  1. Areva consolidait en 2004 environ 250 filiales (rapport 2004)
  2. Voir le communiqué de presse Toutes les filiales du Groupe se nomment désormais Areva
  3. (en) Organization consulté le 6 mai 2008
  4. Document de Référence 2007, p. 61
  5. Document de Référence 2007, p. 91
  6. Document de Référence 2007, p. 116
  7. Document de Référence 2007, p. 132
  8. Document de Référence 2007, p. 26 à 27
  9. Dossier de presse AREVA du 11/12/2007
  10. Dossier de presse AREVA du 26/11/2007
  11. , sur le site de Areva
  12. Courrier mondial, NIGER • L'affaire Areva ou la fin du monopole français sur l'uranium nigérien
  13. Le blog finance
  14. Dépêche annonçant la conclusion de l'accord sur le site de RFI.
  15. The Public Eye Awards, «Public Eye People's Awards - Les lauréats des Public Eye Awards 2008», 2008. Consulté le 29 janvier 2008
  16. http ://www. criirad. org
  17. Voir la FAQ sur le site web d'Areva [1].
  18. Affichage d'un communiqué de presse
  19. Affichage d'un communiqué de presse
  20. Document de Référence 2007, p. 378 à 383
  21. AREVA - Directoire sur le site officiel du groupe, consulté le 5  5 2008
  22. «Areva vend deux réacteurs nucléaires à la Chine», article de Jean-Michel Bezat, Le Monde du vendredi 2 février 2007
  23. Rapports annuels 2003, 2005, 2006, et Document de Référence 2007, p. 201,223 et 255
  24. Areva pourrait perdre plus d'1 milliard d'euros en Finlande - Rumeurs du 20/10/2006 [lire en ligne]
  25. Les retards s'accumulent pour l'EPR finlandais et la facture grimpe - investir. fr 13-08-2007 [lire en ligne]
  26. Nouveaux retards pour l'EPR finlandais ; La Tribune ; 13/08/2007
  27. Rapport d'activité 2006, p. 61 et Document de référence 2006, p. 17, et Guide du titre, dans la rubrique Finance du site www. areva. com

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes


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